21 janvier 2019 Jérémy 0 Comments

Adieux Monseigneur

Aujourd’hui lundi 21 janvier, la France royale s’apprêtait à commémorer la mort du Roi Louis XVI lâchement assassiné il y a 226 ans. À cette occasion, plus de 500 monarchistes s’étaient réunis en l’église de St-Germain l’Auxerrois pour assister en compagnie du Chef de la Maison royale de France Monseigneur le comte de Paris à cette traditionnelle cérémonie. Mais aujourd’hui, le siège d’honneur est resté désespérément vide…   Notre prince, qui régnait sur la France royale depuis 19 ans nous a quitté ce matin sans souffrances à son domicile rue de Miromesnil à l’âge de 85 ans. Notre prince qui aura assumé le passage de la Maison Royale dans le XXIe siècle, n’aura jamais cessé d’assumer son rôle et son héritage, malgré les obstacles, malgré les critiques, le prince aura maintenu la France royale au devant de la scène, publiant des livres, des billets politiques, s’exprimant autant que possible pour faire part aux français de ses craintes pour l’avenir de notre nation et partageant avec eux une voix royale pleine de sagesse. Jusqu’à son dernier souffle, notre prince, notre Roi, aura eu à cœur de servir son pays et sa nation à la place qu’était la sienne, un pays que le prince aimait d’un amour inconditionnel, l’amour d’un père, pour une France dont le prince considérait, chaque Français, comme étant ses propres enfants.   Aujourd’hui la France royale est en deuil, notre cœur de Monarchiste saigne, à l’annonce de la disparition de notre « Roi de Cœur », mais nous regardons sereinement l’avenir, car aujourd’hui son fils le Prince Jean de France prend la relève de son père et qu’un nouveau règne de jure commence, celui du Roi Jean IV de France.  

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Son Altesse Royale le Prince Henri Philippe Pierre Marie d’Orléans est né le 14 juin 1933 au Manoir d’Anjou à Woluwe-Saint-Pierre (Belgique) à 4 heures du matin. Il est de deuxième enfant (sur onze) et le premier fils de Mgr Henri d’Orléans, Comte de Paris (alors Dauphin) et de son épouse, la Princesse Isabelle d’Orléans et Bragance. A cette époque, le Chef de la Maison de France et son fils aîné étaient exilés et bannis du territoire français en vertu d’une Loi adoptée le 22 juin 1886 car la Troisième République craignait une victoire des royalistes aux Législatives suivantes. Né en Belgique certes ! Mais en Belgique, sur Terre de France !

Baptême de l'actuel comte de Paris Henri VII

Baptême du prince Henri d’Orléans

Le Comte de Paris n’hésitait pas à le rappeler en 2007 sur le plateau de Laurent Ruquier. Mais comment est-ce possible ? Lorsque son grand-père paternel le Duc de Guise prit la route de l’exil un jour de printemps 1926, il profita d’un dernier après-midi sur les Champs Élysées. S’arrêtant devant un massif de fleur, le « bon Duc Jean » préleva un peu de terre et le mis dans une bouteille où l’on pouvait lire « Terre de Paname ». Lorsque la mère du Prince Henri accoucha, le Duc de Guise plaça les quatre pieds du lit sur des bols où se trouvait cette Terre de Paris. Une entorse symbolique à une affreuse Loi d’exception.

Pour la première fois depuis Louis-Philippe, la branche aînée de la Dynastie comportait deux héritiers directs. On peut donc s’en douter, cette naissance fut saluée par le principal quotidien royaliste de l’entre-deux-guerres, L’Action française. Des royalistes réussirent à s’introduire dans Notre-Dame et au matin du 15 juin, les Parisiens eurent l’heureuse surprise d’être réveillés par les cloches annonçant la délivrance de la Comtesse de Paris.

Le 5 juillet 1933, anniversaire de son père, il fut baptisé par Mgr Harscouet, Evêque de Chartres, dans la Chapelle du Manoir d’Anjou. Son parrain fut son grand-père maternel, le Prince Pierre d’Alcantara d’Orléans et Bragance, et sa marraine fut sa grand-mère paternelle, Isabelle, Duchesse de Guise.

Photo officielle du baptême du futur Comte de Paris. On aperçoit le Duc de Guise (alors Chef de la Maison de France) et son épouse, le Comte et la Comtesse de Paris (parents du nouveau-né), le Prince et la Princesse Pierre d’Alcantara d’Orléans et Bragance (parents de la Comtesse de Paris), et la Reine Amélie de Portugal (sœur de la Duchesse de Guise)

 

Le Prince sera consacré à sa naissance à Notre-Dame de Chartres, Notre-Dame de Paris, et Notre-Dame de France. Il reçut également le baptême béarnais : on frotte une gousse d’ail pour faire pleurer le nourrisson et on lui fait boire une goutte d’un vin de jurançon. Ce baptême bien singulier fut administré la première fois par le Roi Henri II d’Albret de Navarre sur son petit-fils notre futur Henri IV. Cette cérémonie était censée endurcir le nourrisson. Il n’est administré qu’aux Fils du Chef de la Maison de France et à ceux de son Fils aîné. La robe portée par le Prince Henri de France était en dentelle de Lyon, recouverte d’un surplis d’apparat en broché bleu pâle ayant servi pour le baptême des enfants de Louis XIV.

Il apprendra à lire grâce à mademoiselle de Montbron et sera éduqué par des précepteurs, comme l’a été son père qui déclarait que l’enseignement qu’il avait reçu d’eux avait considérablement aidé à former son esprit politique. Dans un contexte politique d’une Troisième République empêtrée dans ses scandales à répétition, le Comte de Paris plaçait beaucoup d’espoirs dans son fils aîné. N’étant pas (encore) frappé par la Loi d’exil, il accompagna sa mère et sa grand-mère dans leurs tournées en Province, chargé de montrer une bonne image de la Famille.

En 1940, au moment de l’armistice, la Famille de France fut envoyée au Brésil, dans la famille de la Comtesse de Paris. À la fin de l’été 1940, le Prince Henri fit sa première communion. Le 25 août 1940, à 19 h 00, le Chef de la Maison de France (Jean III, Duc de Guise) décédait en son domicile marocain de Larache, frappé de tristesse face au sort subi par la France.

Selon les règles de succession au trône de France, son seul fils Henri, Comte de Paris, devenait le nouveau Chef de la Maison de France sous le nom de Henri VI, et le petit Prince Henri, âgé de 7 ans, devenait le nouveau Dauphin de France. Il était à son tour banni de France !

En 1944, lorsque la Famille de France s’installe en Espagne, il sera pensionnaire chez les Capucins de Lecaros, avec son frère François. Une époque où le Prince Henri déclare avoir fait les 400 coups. La Famille déménageant au Portugal en 1946 (la France de la Libération n’acceptant pas la présence du Comte de Paris non-loin de la frontière des Pyrénées), il suit les cours d’un précepteur puis entre dans une école privée catholique puis au lycée français.

Le comte de Paris Henri VI et ses enfants

Le comte de Paris Henri VI et ses enfants

En 1948, il obtient du Président de la République Vincent Auriol, le droit de venir faire ses études en France, à la condition toutefois de ne pas dépasser la Loire. Il étudiera donc au lycée Longchamps de Bordeaux. Une ville qu’il gardera toujours dans son cœur.

En août 1950, la Loi d’exil sera abrogée et la Famille de France viendra s’installer à Louveciennes.

En 1953, après avoir obtenu deux baccalauréats avec mention, son père décide de lui accorder le prédicat de Monseigneur. Son premier acte de Dauphin de France sera de rendre visite à Jacques Chaban-Delmas, député-maire de Bordeaux afin de le remercier de l’accueil qui lui a été réservé.

Il entre à la rentrée 1954 comme auditeur libre à l’École des Sciences Politiques de Paris, où il recevra de l’aide d’un futur Président, Jacques Chirac en personne, qui l’aidera dans l’économie. Les préparatifs de son union prévue en 1957 l’ont éloignés de ses études et il n’obtiendra pas son diplôme de sortie d’école.

Fiançailles du prince Henri de France et de la Duchesse Marie-Thérèse de Wurtemberg

Par l’entremise des Princes allemands de Thurn et Taxis, il rencontre une cousine, la Duchesse Marie-Thérèse de Wurtemberg, fille du Chef de cette Maison Royale. Il en est profondément amoureux et n’hésite pas à trouver des excuses pour passer du temps avec elle lorsque cela lui est possible. Les fiançailles royales sont annoncées par le Comte de Paris et le Duc de Wurtemberg le 17 septembre 1956. Lors d’une cérémonie familiale, son père li concède le titre de Comte de Clermont, un titre qui sera effectif dès l’instant du mariage, célébré à la Mairie de Dreux le 5 juillet 1957, par Maurice Viollette. Il a alors pour témoins le Comte de Barcelone (grand-père du Roi d’Espagne actuel) et le Roi Paul de Grèce.

Lors de la cérémonie religieuse célébrée le même jour en la Chapelle Saint Louis de Dreux (Chapelle qui peut recevoir des cérémonies religieuses pour la Maison de France par concession du Saint-Siège), le Roi Paul de Grèce cédera sa place au Roi Humbert II d’Italie (le Roi de Grèce étant orthodoxe). Le mariage sera célébré par Mgr Feltin, Cardinal-Archevêque de Paris.

Le nouveau Comte de Clermont est désormais appelé sur les drapeaux. Volontaire pour partir en Algérie, il débarque là-bas le 1er septembre 1957. Incorporé dans la Cavalerie il sera ensuite transféré dans l’école des Officiers de Réserve de Saumur où il gagnera les galons de Sous-Lieutenant. Sa première affectation sera comme Chef de Peloton au 4ème Chasseurs, dans le Département de Constantine.

Le 3 janvier 1959, naît sa première fille, la Princesse Marie Isabelle Marguerite Anne Geneviève, née à Boulogne-Billancourt à 7 h 22.

L'actuel comte de Paris en Algérie

Le 8 mai 1959, il obtient la Croix de la Valeur Militaire. Le Prince très attaché à l’armée demandera à rester sous le statut de militaire afin d’incorporer le Secrétariat Général de la Défense Nationale auprès du Général de Gaulle alors Président de la République. Il y reste jusqu’en avril 1962. Il aura la lourde charge d’annoncer à ses parents le 11 octobre 1960, le décès au Champ d’Honneur de son frère le Prince François. Le dernier d’une longue liste de Prince de France ayant donné leur vie pour la gloire des armes de la France. Pour le Comte de Clermont, c’est une perte irremplaçable, il donnera d’ailleurs ce prénom à son premier fils, François Henri Louis Marie, né le 7 février 1961 à Boulogne-Billancourt à 6 h 55.

Le 20 juin 1961, il assiste avec son épouse au dîner donné par le Général et Madame de Gaulle pour le Président allemand et Madame Lübke. Du printemps 1962 à fin 1967, le Comte de Clermont choisi de terminer sa carrière à la Légion étrangère, au 1er Etranger de Cavalerie. De toutes ses affectations, c’est celle qui a le plus marqué le Prince, n’hésitant pas à rappeler souvent qu’il est un ancien Légionnaire, ayant servi pour le drapeau français avec Honneur et Fidélité. Bloqué au grade de Lieutenant, et n’étant pas prioritaire pour les avancements car n’étant pas sorti de Saint-Cyr, il quitte l’armée en janvier 1968.

Entre temps sont nés Blanche Elisabeth Rose Marie, née le 10 septembre 1962 à Ravensburg à 16 h 10 ; Jean-Carl Pierre Marie, né le 19 mai 1965 à Boulogne-Billancourt à 18 h 50 ; Eudes Thibaut Joseph Marie, né le 18 mars 1968 à 9 h 15. François et Blanche sont malheureusement atteint d’un handicap mental suite à la toxoplasmose contracté par la Comtesse de Clermont.

le comte de Paris Henri VI et son fils le prince Henri d’Orléans

En mars 1968, il entre au Crédit Lyonnais où il rencontrera Arlette Laguiller. Il joue le rôle de Public Relations auprès des clients de cette banque. Il entre ensuite à la Société Rhodanienne d’Investissements Internationaux, comme directeur des relations extérieures en 1972.

Le Prince Henri aime beaucoup à se définir comme artiste peintre, c’est au printemps 1974 qu’il exposa pour la première fois à Paris. C’est la fin d’un couple également. Le Comte et la Comtesse de Clermont se séparent alors. La séparation de corps sera prononcé le 23 février 1977 par le Tribunal de Grande Instance de Paris.

En 1974, il fera connaissance de Micaëla Cousino, fille de la Marquise de San Carlos, qui partagera désormais sa vie. Elle travaillais alors dans l’édition. Dépressif, elle aidera le Prince Henri à remonter la pente. Il commence alors à illustrer des livres pour enfants et créé le parfum Lys Bleu avec l’homme d’affaire Paul-Loup Sulitzer. En 1982, il commence à s’interésser à la politique et donne sa première conférence à Grenoble sur le thème Royauté et Démocratie.

Il créé en 1984 le Centre d’Études et de Recherches sur la France Contemporaine (qu’il transformera en 1998 en Institut de la Maison Royale de France). À compter du 21 janvier 1982, il fait dire une messe à la mémoire de Louis XVI et de Marie-Antoinette, ainsi que de Louis-Philippe-Joseph d’Orléans (dit Philippe Egalité), où il fera dire une prière composée par lui. Soucieux de l’héritage dynastique, il n’oublie pas et ne souhaite pas cacher les erreurs de ses ancêtres.

Des personnes montrèrent alors la lettre adressée par le Général de Gaulle au Comte de Paris, félicitant le Prince pour des fiançailles dignes de la Maison de France. Le Prince Henri est alors persuadé que ses sentiments sincères vis-à-vis de Marie-Thérèse étaient manipulés. Dès lors, dans toutes ses déclarations, il dira toujours que son mariage fut arrangé. Où est la vérité ? Nul ne le saura. Le 3 février 1984, il obtient le divorce de son épouse Marie-Thérèse de Wurtemberg. 19 jours plus tard, le Comte de Paris accorde le titre de Duchesse de Montpensier à l’ex-Comtesse de Clermont.

Il se mariera le 31 octobre 1984 avec Micaela Cousino, mariage célébré à Bordeaux par le député-maire Chaban-Delmas. N’ayant pas sollicité le consentement dynastique de son père, le Comte de Paris le proclamera déchu de ses droits et lui concédera le titre secondaire de Comte de Mortain. Le Prince Henri ne reconnaîtra jamais cette déchéance… Une éternelle controverse autour du principe de consentement dynastique pour le mariage.

En 1987, il participe activement au Millénaire Capétiens et publie un livre émouvant nommé A mes fils (éditions Albin Michel) où il parle de son enfance et de sa tristesse. Il enchaîne alors conférences et cérémonies publiques. Il a alors pour projet de publier avec son Centre d’Études un « Livre Blanc sur la France » qu’il présente comme des « Cahiers de Doléances de 1989 » (un projet reprit depuis par le Gouvernement actuel). Il s’efforce aussi de donner des conférences sur le Roi Louis XVI afin de faire taire les injustices et fausses informations à son sujet.

Le 31 octobre 1990, le conflit familial prend fin et le Comte de Paris reconnaît rétroactivement le mariage de son fils, sans toutefois accorder le titre de Comtesse de Clermont à Micaëla, lui préférant celui de Princesse de Joinville.

En octobre 1994 enfle la rumeur présentant le Prince Henri comme un potentiel candidat à la succession du Président François Mitterrand pour l’Elysée, il publie alors Adresse au futur Chef de l’État, véritable programme politique.

Le Prince Henri a toujours été un fin analyste politique. Je me souviens personnellement avoir visionné en avril 2007 le passage du Prince Henri dans On n’est pas couché. Il déclarait alors à Michel Polac que les policiers et gendarmes n’avaient plus de moyens et qu’ils étaient obligés de payer leur propre matériel… Une décennie plus tard, tout le monde en parle, et voici que les Commissariats organisent le concours du « Commissariat le plus pourri de France ». La Maison de France a toujours visé juste dans ses analyses.

Le 19 juin 1999, à 15 h 00, est décédé le Comte de Paris à Cherisy alors que se déroule le mariage de son petit-fils Eudes, Duc d’Angoulême avec Marie-Liesse de Rohan-Chabot. Le Comte de Clermont devient alors le Chef de la Maison de France sous le nom de Henri VII. Conformément aux dispositions prises par son père, il relève le titre de Comte de Paris, auquel il joint celui de Duc de France, afin de se différencier de son père. Le voici devenu à 66 ans l’héritier de la plus ancienne Dynastie d’Europe. Sa première déclaration, la voici :

A l’aube du XXIe siècle, j’assume désormais la responsabilité historique qui incombe au chef de la Maison royale de France. Au moment où la France voit sa souveraineté et son identité remise en cause, je ressens, comme tant de Français, l’impérative nécessité de construire ensemble un avenir digne de nos espérances. Je suis prêt à accompagner et à assumer, avec tous ceux d’entre vous qui y sont préparés cette formidable mutation. C’est pourquoi, à l’image de mes ancêtres les premiers Capétiens bâtisseurs de la France, je demande aux Françaises et aux Français de me soutenir dans cette tâche porteuse de leurs espoirs. La vocation du chef de la Maison royale de France est à cet égard de demeurer le ferment d’équilibre et d’unité de notre diversité. Plus nous serons conscients de la dignité de l’homme et du rôle de chacun au sein de nos communautés naturelles, mieux nous pourrons répondre à la mission dynamique de la France en Europe.

Ses premières décisions sont les suivantes :

– il reconnaît rétroactivement les mariages de ses frères Michel et Thibaut, et replace leurs branches dans la ligne de succession,

– il concède le titre de Comte de Clermont à son fils aîné François,

– il reconnaît son fils Jean comme Dauphin de France.

Cette dernière décision était liée au handicap du Prince François, et donc à son caractère dynaste. Un problème dynastique de première importance, jamais en 1000 ans d’histoire la Maison Royale a eu un Prince aîné, handicapé mental sans espérance de guérison. Le nouveau Comte de Paris fera souvent de vas et viens sur cette question. Suite au décès de la Comtesse de Paris le 5 juillet 2003, il concédera ce titre à son épouse Micaëla, devenue Duchesse de France en 1999 et toujours Princesse de Joinville.

Monseigneur le comte de Paris

En 2004, il concédera celui de Duc d’Anjou à son neveu Charles-Philippe, élu Grand-Maître d’une Obédience de l’Ordre de Saint-Lazare. Après trente-trois ans de procédure en annulation du mariage, le 26 septembre 2009, il se marie religieusement à Arcangues avec la Princesse Micaëla.

En 2016, il assistera au mariage de son neveu François qu’il titrera Comte de Dreux. Ce sera l’une de ses dernières apparition à une cérémonie familiale.

Son dernier ouvrage La Royauté de l’Homme donne un message de paix et fait le bilan de toute une vie politique, sa vision politique étant arrêtée. J’ai eu l’occasion de correspondre plusieurs fois avec lui, toujours ouvert pour des recherches, il avait à cœur de faire connaître la Maison de France et son message politique.

Prince humaniste ? Oui !

Prince en avance sur son temps de par son analyse politique ? Assurément !

Prince qui a servi son pays ? Toujours avec Honneur et Fidélité !

Monseigneur, puissiez-vous reposer en paix.

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